Germain Gallet

GERMAIN GALLET

« Dijon, renaissance de ses monuments disparus »

Une collection de 40 Modéligraphies (marque déposée)

 

du 28 novembre au 31 janvier 2021

 

Germain Gallet nait le 17 mai 1988 à Auxerre. Très tôt il montre une sensibilité artistique et une prédisposition au dessin qu’il pratique régulièrement. Ses parents s’installent à Dijon en 1990, où il passera toute son enfance et son adolescence jusqu’en 2008. La Capitale des Ducs de Bourgogne lui donnera le goût de l’architecture et du patrimoine et deviendra pour lui un vaste champ d’exploration avec ses monuments historiques et sacrés. Au cours de ses premières années de collège, il commence un véritable travail de recherches et d’investigation in situ, dans les églises et autres édifices remarquables, dont certains accès privés lui sont ouverts. Les personnes en charge de ces lieux encouragent le collégien à la passion hors norme et décalée par rapport aux camarades de son âge. A l’âge de douze ans il réalise la maquette d’une ville fictive « Saint-Oga » premier essai d’architecture. Il obtient son diplôme d’état d’architecte en 2014 et effectue un stage dans la célèbre agence Wilmotte et associés à Paris.

Après plusieurs années de recherches, d’enquêtes historiques, le créateur, en combinant l’art du dessin et l’utilisation des outils numériques mis à son service, Germain Gallet nous propose à travers ses modéligraphies® une représentation inédite de ces monuments et de ces lieux qui furent et ne sont plus (le château de Dijon, la Sainte Chapelle, la Rotonde de Saint Bégnine….Animé par une volonté farouche de faire renaitre des monuments ou des lieux  qui n’existent plus, il en fait une de ses spécialités.

Modéligraphie®. Elle est l’art de reproduire par impression numérique sur papiers d’Art référencé, une œuvre graphique obtenue à partir d’une modélisation 3D entièrement imaginée et créée sur ordinateur par le même créateur et à partir d’un dessin original exécuté par lui-même. Un tirage ne pourra être considéré comme original qu’à condition que le nombre d’impressions soit limité et déterminé à l’avance, chaque exemplaire devant être signé et numéroté par l’artiste. Afin de protéger les œuvres, elles seront toutes répertoriées sous un numéro d’identification qui sera reporté sur leur certificat d’authenticité. On peut rapprocher l’ordinateur à la matrice d’une gravure ou à la pierre d’une lithographie. Ce procédé d’Art est l’expression de son temps avec l’utilisation des technologies numériques mises au service d’une création graphique originale. Les fondamentaux de la peinture et du dessin sont ici respectés. La série consacrée à Dijon est limitée à 30 exemplaires, numérotés de 1 à 30.

Le thème central pouvant se résumer à « un voyage dans le temps sur un plan artistique, historique et architectural des monuments et lieux disparus de Dijon ».

https://www.francetvinfo.fr/culture/arts-expos/

https://www.dijonbeaunemag.fr/le-dijon-disparu-revit-en-images-et-video/

 

La place royale de Dijon depuis la balustrade au XVIIIe siècle 2
La place royale de Dijon depuis la balustrade au XVIIIe siècle 4
La Sainte-Chapelle de Dijon en cours de destruction (vers 1803) 3
Le château de Dijon vu depuis la petite rue du château 2 
La ville de Dijon depuis la porte des Chartreux à la fin du XVIIIe siècle 3
La ville de Dijon depuis le clocher des Minimes au XVIIIe siècle 1
François ORLANDINI (1920-2015)

François ORLANDINI (1920-2015)

François ORLANDINI (1920-2015)

Grand prix de Rome 1948.


Du 17 mars au 7 avril 2018. 

Après une collaboration régulière avec la Galerie de la Place Beauvau, ORLANDINI quitte Paris au début des années 80 et s’installe avec son épouse et muse, Monique, dans sa maison familiale de Côte d’Or.

Ses œuvres seront exposées à Dijon à plusieurs reprises et dans différents lieux jusqu’au moment de sa rencontre décisive avec Christian Dazy, au 16 de la Place des Ducs de Bourgogne à Dijon en 1993.

Une longue et exclusive collaboration suivra avec plusieurs expositions thématiques, l’eau,  l’Italie, les clos et les Châteaux en Bourgogne…

L’exposition que nous lui consacrons aujourd’hui dans notre nouvel espace de Dijon, est un hommage au Grand peintre qu’il fut et restera, avec une rétrospective dont le fil conducteur est un voyage dans le temps et l’espace, à travers une suite d’œuvres très diverses dans les thèmes et les techniques.

BIOGRAPHIE

François ORLANDINI est né le 3 juillet 1920 à Auvillars-sur-Saône (Côte d’Or).

Son père était sculpteur et statuaire.

Etudes aux Beaux-Arts de Paris.

  • 1948 – Lauréat du Grand Prix de Rome de Peinture.
  • 1949 à 1952 – Pensionnaire de l’Académie de France à Rome (Italie).
  • 1949 – Exposition aux Artistes Français à Lyon.
  • 1950 – Particpation à l’Exposition de la Villa Médinis à Rome (Italie).
  • 1951 – Particpation à l’Exposition de la Villa Médinis à Rome (Italie).
  • 1952 – Exposition de groupe à Rome (Italie).
  • 1953 – Exposition particulière « Paysages Italiens » à Paris, galerie Chardin.
  • 1954 à 1960 – Collaborateur de la Manufacture de Sèvres pour le décor des vases.
  • 1962 – Peinture murale : « Les personnages de la Comédie Classique », pour le Lycée de filles de Cherbourg.
  • 1964 – Exposition particulière « Aquarelles » à Paris, Galerie Agora.
  • 1965 – Peinture murale : « Illustration de la locomotive terrestre », pour le Lycée de Montbelliard.
  • 1967 – Peinture murale : « Invention de la Lettre de Change », pour la banque Populaire de la Côte d’Or à Dijon.
  • 1968 – Mosaïque murale : « La forêt merveilleuse », pour le Lycée de Montbéliard.
  • 1971 – Mosaïque murale : « Exaltation de la Forêt Equatoriale », pour l’Ambassade du Gabon à Paris.
  • 1972 – Paysagisme à Bandol.
  • 1973 – Art Monumental : Mosaïque murale « Jeux d’Eau et de Lumière » pour le Palais Présidentiel du Mont Bouët à Libreville (Gabon).
  • 1974 – Exposition particulière « d’Espagne et d’Ailleurs » à Paris, galerie d’Art de la Place Beauveau.
  • 1976 – Mosaïque murale « Les Signes Mathématiques » pour le groupe scolaire de Le Grand Lucé (Sarthe).
  • 1977 – Art Monumental : Céramique de Grand Feu sur Lave : « Richesse et Essor » pour le Palais Présidentiel « Rénovation » à Libreville (Gabon), Architecture et décor de terrasse à Neuilly.
  • 1978 – Exposition particulière à Paris, Galerie d’Art de la Place Beauveau, Participation au Salon du Dessin et de la Peinture à l’Eau.

Collections particulières :

Angleterre, Argentine, Belgique, Cameroun, Gabon, Italie, Suisse, U.S.A., Vénézuéla etc…